Ressources documentaires

Mise en ligne de la présentation support de l’atelier du 05/05/2023

Des solutions permettant de passer l’été au mieux.

La saison 2023 s’annonce particulièrement difficile avec un déficit de pluviométrie cumulé sans précédent qui suit deux années sèches.

Le débit des sources de la Siagnole est au niveau des débits de fin juillet 2022.

Les forages de la Barrière sont asséchés, les forages de Tassy sont très bas et ne permettront pas de jour le rôle de secours de l’alimentation du Pays de Fayence tout l’été.

Nous nous acheminons vers une saison avec une forte pénurie d’eau et des coupures probables.

L’objectif de cet atelier est de mettre à chaque particulier de se préparer en mettant à disposition des informations et des solutions lui permettant de limiter la consommation d’eau de sa piscine, stocker et utiliser des eaux de récupération, mieux gérer son jardinage avec des espèces nécessitant peu d’arrosage et bien sur limiter sa consommation domestique du quotidien à l’intérieur de sa maison.

Le but est à la fois un comportement citoyen solidaire mais aussi avoir plus de chance d’utiliser sa piscine et d’arroser son jardin en fonction des limitations réglementaires qui ne manqueront pas d’arriver.

Vous trouverez également ici une liste des plantes résistantes à un climat sec.

La-Sobriete-006

PLANTES RÉSISTANTES A UN CLIMAT SEC

Cette liste est aimablement mise à disposition par Olivier STUMPF, Jardinier à TOURRETTES

Elle a été mise à jour par les conseils de Marjorie Ughetto (consultante en Biodiversité)

Toutes les plantes nommées existent en plusieurs variétés attention elles peuvent être sensibles au froid

Kniphophia

cistes

liatris

vitex agnus castus

arbousiers

tamaris

euphorbes

othonopsis

cineraire maritimes

graminées

phormium

plumbagos

caryopteris

teucriums

convolvulus

lavandes

romarins

Sedums

gazanias

ficoides

delospermas

lantanas

Valerianes

roses tremiéres

salvias

santolines

plhomis

scabieuses

verveines

thymus

thubalgias

campsis

rhyncospermum

yuccas Attention alerte nouveau ravageur un charançon noir donc le planter c’est soit gaspiller de l’argent car il va crever soit dépenser de l’argent pour acheter des produits qu’il faudra diluer à L’EAU UN COMBLE 😉 pour qu’il survive. Ce ravageur est déjà présent sur notre territoire.

toutes les crassulacées

althéas

abutilons

agapanthes

erigerons………

Gestion quantitative de l’eau

Rapport de l’office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques

Audition publique du 10 Février 2022 – Présentation des conclusions le 17 Mars 2022

En raison d’une grande thermosensibilité du cycle de l’eau, le dérèglement climatique provoquera une modification spatiale et temporelle du régime des précipitations. L’accès à l’eau – essentiel à la survie de l’Homme et au développement de ses activités socio-économiques – s’en trouvera menacé, avec des épisodes de stress hydrique à la fois plus importants et plus fréquents dans certaines parties du territoire français. Le développement d’une gestion soutenable et raisonnée de l’eau apparaît donc comme un enjeu majeur pour notre société.

Voir le rapport ci dessous.

rapport-senat-aspects-scientifiques-gestion-eau

9ieme Forum Mondial de l’Eau à DAKAR

L’eau est un sujet en Pays de Fayence, c’est un sujet au niveau Mondial.

Rien de grand ne se fait sans passion et engagement. Le 9ème
Forum mondial de l’eau qui vient de baisser ses rideaux en est
une illustration parfaite.

Des décisions fortes ont été prises cette semaine à Dakar qui a accueilli la communauté de l’eau et
ses partenaires pour le Forum des réponses visant à améliorer
l’accès à l’eau et à l’assainissement dans la perspective de l’ODD. L’événement a eu un retentissement planétaire avec une approche inclusive dans la plateforme située dans la nouvelle ville de Diamniadio.

Voir le document de clôture.

Bulletin-fr-05-002

Sites publics eaufrance.fr et economie.eaufrance.fr

Eaufrance est un service public d’information sur l’eau et les milieux aquatiques.
Il a pour but de faciliter l’accès à l’information publique dans le domaine de l’eau en France.

Que puis-je trouver sur eaufrance.fr ?

Ces informations sont produites dans le cadre du système d’information sur l’eau français ou SIE.

Economie Eaufrance est un service public d’information sur l’économie de l’eau et des milieux aquatiques. Il a pour but de faciliter l’accès à l’information économique dans le domaine de l’eau en France.

Que puis-je trouver sur economie.eaufrance.fr ?

Rapport mondial des Nations Unies sur la mise en valeur des ressources en eau 2021

L’édition 2021 du Rapport, intitulée « La Valeur de ‎‎l’eau», propose une analyse de la situation actuelle et des enjeux liés à l’évaluation de la valeur ‎‎de l’eau en tant qu’outil de développement durable.

Résumé par « Pays de Fayence, association des usagers de l’eau » 10 V 2021

La disponibilité de l’eau

Le stress hydrique, mesuré schématiquement par le rapport entre l’utilisation d’eau et les réserves disponibles, affecte de nombreuses régions du monde. Plus de 2 milliards de personnes vivent dans des pays soumis à un stress hydrique. La pénurie d’eau constitue souvent un phénomène saisonnier plutôt qu’un phénomène annuel, comme en atteste la variabilité saisonnière de la disponibilité de l’eau. Près de 4 milliards de personnes vivent dans des zones touchées par une grave pénurie d’eau au moins un mois par an. Près de 1,6 milliard de personnes subissent une pénurie d’eau « économique », c’est-à-dire que même si l’eau est physiquement disponible, cette population ne dispose pas des infrastructures nécessaires pour y accéder . Le prélèvement d’eau aux fins de l’irrigation représente la principale cause d’épuisement des eaux souterraines dans le monde.

Stockage de l’eau

À l’échelle mondiale, la capacité des réservoirs par personne diminue étant donné que l’expansion des réservoirs n’a pas progressé au même rythme que la démographie et que la capacité de stockage décroît, notamment en raison de la sédimentation. Chaque année, les pertes moyennes de volume de stockage correspondent à 1 % environ de la capacité totale des réservoirs, tandis que le coût de la restauration de ces pertes est estimé à environ 13 milliards de dollars EU par an. En raison de la surexploitation intensive des eaux souterraines et d’une perte des eaux de surface liée à la hausse des températures, on observe une diminution considérable des réserves totales en eau.

Demande en eau et utilisation de l’eau

Au cours des 100 ans passés, l’utilisation de l’eau douce dans le monde a sextuplé et continue d’augmenter régulièrement de près de 1 % par an depuis les années 1980. Cette augmentation résulte en grande partie de la croissance démographique, du développement économique et de l’évolution des modes de vie. L’ agriculture est à l’origine de 69 % des prélèvements d’eau dans le monde, utilisés essentiellement pour l’irrigation, mais aussi pour l’élevage et pour l’aquaculture.

Pourtant, à l’échelle mondiale, l’agriculture ne représente qu’environ 4 % du produit intérieur brut :  la valeur ajoutée de l’eau dans l’agriculture est très faible. Selon les estimations de la FAO, basées sur un scénario de maintien du statu quo, le monde aura besoin d’environ 60 % de nourriture supplémentaire d’ici à 2050 : malheureusement, il est possible que le monde soit confronté à un déficit en eau de 40 % d’ici à 2030 si rien n’est fait pour inverser la tendance actuelle.

La qualité de l’eau

La pollution a entraîné une détérioration de la qualité de l’eau dans presque tous les grands fleuves d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine. Les charges en matières nutritives, souvent associées à des charges en agents pathogènes, constituent l’une des sources de pollution les plus courantes. Au niveau mondial, environ 80 % des eaux usées industrielles et municipales sont déversées sans aucun traitement préalable, ce qui entraîne des effets néfastes sur la santé humaine et sur les écosystèmes.

Phénomènes extrêmes

Au cours de la période 2009-2019, les inondations ont causé la mort de près de 55 000 personnes, affecté 103 millions de personnes, et provoqué des pertes économiques estimées à 76,8 milliards de dollars EU.

Sur la même période, les sécheresses ont touché 100 millions de personnes, dont 2 000 sont mortes, et provoqué des pertes économiques directes estimées à plus de 10 milliards de dollars EU. Au niveau mondial, les inondations et les précipitations extrêmes ont augmenté de plus de 50 % au cours de la dernière décennie et surviennent actuellement à un rythme quatre fois plus élevé qu’en 1980. On s’attend à ce que le changement climatique accroisse encore l’intensité et la fréquence des inondations et des sécheresses.

Risque et résilience

Les pénuries en eau comptent parmi les risques mondiaux qui préoccupent le plus les décideurs politiques et les chefs d’entreprise. Parmi les entreprises ayant déclaré être exposées à ces risques, la valeur commerciale combinée à risque a atteint 425 milliards de dollars EU, soit environ 40 % des risques prévus au cours des trois prochaines années.

Évaluation économique de l’environnement et des infrastructures

D’ici à 2030, les investissements dans les infrastructures d’eau et d’assainissement devront se situer entre 900 et 1 500 milliards de dollars EU par an. Environ 70 % de cet investissement total dans les infrastructures sera réalisé dans les pays du Sud, dont une grande partie dans les zones urbaines à croissance rapide. Dans les pays développés, des investissements importants seront nécessaires afin de rénover et d’améliorer les infrastructures existantes. Outre les avantages sociaux et le bien-être humain souvent non quantifiables qu’ils procurent, les investissements dans les infrastructures de traitement des eaux ménagères et des eaux vertes peuvent offrir un rendement économique considérable.

Évaluer les services d’approvisionnement en eau, d’assainissement et d’hygiène dans les établissements humains

En 2017, 5,3 milliards de personnes (soit 71 % de la population mondiale) utilisaient un service d’alimentation en eau potable sécurisé — c’est-à-dire, situé sur le lieu d’usage, disponible à tout moment et exempt de contaminations. En outre, 3,4 milliards de personnes (45 % de la population mondiale) avaient accès à des installations d’assainissement gérées de façon sécurisée — c’est-à-dire des toilettes ou des latrines améliorées qui ne sont pas partagées.

Chaque année, on estime qu’environ 829 000 personnes meurent de diarrhées à cause du manque d’eau potable, d’assainissement et d’hygiène des mains, parmi lesquels près de 300 000 enfants de moins de 5 ans, soit 5,3 % des décès dans cette tranche d’âge . Or, dans le monde, plus de 3 milliards de personnes et deux établissements de santé sur cinq ne disposent pas d’installations pour se laver les mains. Au niveau mondial, les infections liées à des conditions d’hygiène insuffisantes pendant l’accouchement, tant à domicile que dans un établissement de santé, et aux mauvaises pratiques d’hygiène dans les six semaines qui suivent la naissance, sont à l’origine de 11 % des décès maternels, principalement dans les pays à revenu faible et intermédiaire.

 69 % des enfants scolarisés ont accès à l’eau potable, 66 % à l’assainissement et 53 % à l’hygiène. Autrement dit, 570 millions d’enfants ne bénéficient d’aucun service d’approvisionnement en eau pour boire dans leur établissement scolaire, 620 millions d’enfants ne bénéficient d’aucun service d’assainissement et 900 millions d’enfants, de dispositif d’hygiène.

On estime qu’environ 230 millions de personnes, principalement des femmes, font plus de 30 minutes de trajet aller-retour pour aller chercher de l’eau à des sources situées loin de leur foyer. En d’autres termes, les femmes passent, chaque jour, 200 millions d’heures, soit 8,3 millions de jours ou 22 800 ans, à collecter de l’eau. Les pertes annuelles en journées de travail dues au manque d’accès aux installations sanitaires sont estimées à 6,5 milliards de dollars EU au moins. De surcroît, les maladies transmissibles principalement causées par une eau potable de mauvaise qualité ainsi qu’un manque d’assainissement et d’hygiène entraînent chaque année près de 400 000 décès sur le lieu de travail.

.D’après une étude menée dans dix pays à revenu faible et intermédiaire, 56 % des subventions profitent en moyenne aux 20 % les plus riches quand seuls 6 % des subventions bénéficient aux 20 % les plus pauvres. Selon le Rapport mondial sur la mise en valeur des ressources en eau 2019, les habitants de bidonvilles doivent s’acquitter de factures 10 à 20 fois supérieures pour l’eau, qui provient de fournisseurs tels que les camions-citernes.

Alimentation et agriculture

Bien que la production alimentaire mondiale ait suivi le rythme de la croissance démographique, près de 750 millions de personnes (soit près d’une personne sur dix dans le monde) étaient encore exposées à un état d’insécurité alimentaire grave en 2019 . Malheureusement, en raison de la pandémie de COVID-19 et de ses répercussions, ce nombre a encore augmenté au cours de l’année 2020.

L’agriculture pluviale exploite 80 % des terres cultivées dans le monde et génère la majeure partie (60 %) de la production alimentaire. L’agriculture irriguée couvre 20 % des terres cultivées dans le monde, mais elle génère 40 % de la production alimentaire. Près de la moitié de ces zones irriguées dépend d’eaux souterraines.

Pour la période 1996-2005, l’empreinte hydrique mondiale liée à la production agricole s’élevait à 69 % de l’empreinte hydrique totale de l’humanité. En dépit d’une croissance économique remarquable ces dernières années, on dénombre encore quelque 2,1 milliards de pauvres, dont 767 millions de personnes vivant dans l’extrême pauvreté. Sur l’ensemble des personnes touchées par la pauvreté, 80 % vivent dans des zones rurales où l’agriculture demeure le moyen de subsistance principal. Selon des estimations fondées sur des données nationales et infra-nationales complètes, 40 % des zones effectivement irriguées dans le monde dépendent de sources d’eau souterraine.Grâce à une comptabilité de l’eau appropriée et à l’application de réglementations strictes en matière de prélèvement, l’adoption de systèmes d’irrigation très efficaces pourrait réduire la consommation d’eau de plus de 70 % tout en maintenant le niveau actuel de rendement des cultures, ce qui permettrait de réaffecter l’eau à d’autres usages tels que la restauration de l’environnement .

Énergie, industrie et commerce

L’Agence internationale de l’énergie  (AIE) estime qu’en 2014, la production d’énergie a été responsable d’environ 10 % de l’ensemble des prélèvements d’eau, parmi lesquels environ 3 % sont consommés. Toujours selon l’AIE, les autres secteurs industriels ont utilisé une quantité similaire (environ 10 % des prélèvements d’eau mondiaux). Pour la période 2000-2050, les prévisions de demande en eau au niveau mondial indiquent une augmentation de 400 % pour l’industrie manufacturière et de 140 % pour la production d’énergie thermique.

À l’échelle mondiale, la teneur moyenne en eau virtuelle des produits industriels correspond à 80 l/dollar EU, mais elle varie beaucoup d’un pays à l’autre. Par exemple, aux États-Unis d’Amérique, elle s’élève à 100 litres par dollar EU tandis qu’en Chine et en Inde, elle se situe entre 20 et 25 litres par dollar EU.

Perspectives régionales

Afrique subsaharienne

Selon les estimations, les ressources en eau douce de l’Afrique représentent près de 9 % des ressources en eau douce mondiales. Toutefois, ces ressources sont inégalement réparties, et on estime que 25 pays d’Afrique devraient souffrir de pénuries d’eau, notamment à cause de la répartition inégale des ressources en eau et des inégalités dans l’accès à des services d’eau propre et potable.

Région arabe

Dans la région arabe, près de 86 % de la population, soit près de 362 millions de personnes, vivent dans des conditions de pénurie d’eau, voire de pénurie absolue. On dénombre 14 pays dans cette région qui utilisent plus de 100 % de leurs ressources en eau douce disponibles.

Cette pénurie d’eau accroît la dépendance à l’égard des eaux transfrontalières, des ressources en eaux souterraines non renouvelables, et des ressources en eau non conventionnelles. La région a donc connu une expansion de l’utilisation des eaux usées traitées. Si l’agriculture ne représente que 7 % du produit intérieur brut régional, elle absorbe 84 % de tous les prélèvements d’eau douce dans la région. Bien que la valeur de cette eau ne soit pas correctement reflétée par la tarification et l’exportation des produits agricoles, le secteur emploie environ 38 % de la population de la région. Ainsi, l’eau utilisée pour les cultures et le bétail joue un rôle essentiel dans le maintien des moyens de subsistance, des revenus et de la sécurité alimentaire des populations rurales dans certaines des zones les plus vulnérables de la région. Les fournisseurs de services d’eau subissent une pression de plus en plus forte pour répondre aux besoins des villes et des bidonvilles en expansion, qui abritent près de 26 millions de personnes déplacées de force (réfugiés et personnes déplacées à l’intérieur de leur propre pays). Cette situation entraîne des coûts supplémentaires et a de nombreuses répercussions sur la santé, en particulier dans le contexte de la pandémie de COVID-19. Près de 20 % de la population consacrent plus de 2 à 3 % des dépenses du foyer aux services d’eau, d’assainissement et d’hygiène.

Les Nations unies ont également publié un rapport spécial sur l’évaluation de l’eau dans toutes ses composantes

  1. évaluation des ressources en eau et des écosystèmes in situ ;
  2. évaluation des infrastructures de stockage, de distribution, de réutilisation de l’approvisionnement en eau ;
  3. évaluation des services d’eau (approvisionnement en eau potable, assainissement et aspects sanitaires afférents) ;
  4. évaluation de l’eau en tant qu’agent de la production et de l’activité socio-économique, notamment dans les domaines de l’alimentation et de l’agriculture, de l’énergie et de l’industrie, du commerce et de l’emploi ;
  5. évaluation des composantes socio-culturelles de l’eau, notamment ses attributs récréatifs, culturels et spirituels.

Dans un monde idéal, ces cinq évaluations peuvent conduire à la fixation d’un prix fictif de l’eau. Une bonne planification devrait se baser sur ce prix fictif.

Voir le rapport complet: http://www.unesco.org/reports/wwdr/2021/fr

Le Pacte de transfert de l’eau

Ce « Pacte de Transfert » approuvé en décembre 2019 décrit les modalités du transfert  de la compétences de l’eau des communes vers la CCPF: 

  • Le personnel des communes affecté aux services « eau et assainissement » sont transféré à la CCPF 30 ETP des communes, 4 ETP de services externalisé, 5 SPANC 
  • Les biens meubles et immeubles utilisés par les communes sont transférer à la comcom 
  • Les contrats d’investissement engagés par les communes sont transférés à la comcom 
  • Les tarifs actuellement très disparates seront progressivement harmonisés. 
  • Le mode de gestion sera la régie communautaire. Il sera créé deux régies ; eau et assainissement avec un seul conseil d’exploitation et un directeur. 
  • Le pacte est exécuté sous le contrôle du Conseil d’exploitation 
2019-12-13-Pacte-de-Transfert-V7-du-9-12-2019

L’irrigation en Pays de Fayence

Un document rédigé par Jean Gault*, qui remercie Pierre Ratcliffe et Jacques Récy  de leur contribution essentielle 

L’auteur est bien conscient de l’importance extrême de la question l’eau dans notre région pour toutes les formes d’agriculture. Elle imprègne l’Histoire, la littérature et l’internet (« L’eau en Pays de Fayence -une longue histoire  depuis l’aqueduc romain » : paysdefayence.blogspot.com, blog de Pierre Ratcliffe où l’auteur  a rassemblé nombre d’informations techniques et économiques intéressantes).

Constatant le changement climatique, l’évolution de nos sociétés (et de la consommation), les fortes mutations réglementaires, il propose les quelques réflexions ci-dessous, à partir de l’information dont il a connaissance. 

Il souhaite en effet contribuer utilement au débat, clarifier les enjeux, les problèmes et les solutions possibles.

Memoire-eau-30-Juin-19_

L’eau c’est la vie !

Un dossier publié par le ministère de la transition écologique et l’Office Français de la Biodiversité.

Voir  quelques chiffres clefs de 2020 …

Vous y trouverez des informations sur l’état et la qualité des eaux superficielles, les évolutions des services de distribution d’eau et d’assainissement et beaucoup d’autres choses intéressantes pour celui qui s’intéresse à la préservation de cette ressource essentielle à la vie.

Sans oublier un sondage sur l’opinion des Français sur la qualité de l’eau.

Les Français expriment toujours une certaine satisfaction à l’égard de la qualité de l’eau du robinet. Cependant, le sentiment de dégradation progresse et concerne désormais près d’une personne sur quatre. 

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